LafargeHolcim et IBM lancent ORIS, La première plate-forme numérique destinée à optimiser les projets routiers.

La plate-forme ORIS (Sourcing Intelligence for Road Optimization) a été développée par le groupe LafargeHolcim en partenariat avec IBM Services. Elle permet aux décideurs et aux autorités en charge des infrastructures routières, d’améliorer la construction des routes et contribuer à un design optimal de ces dernières. Une telle solution ne peut être que la bienvenue en Côte d’Ivoire, au vu des investissements considérables effectués par le gouvernement dans ce secteur.

Le wébinaire organisé par LafargeHolcim Côte d’Ivoire a été animé par M. Nicolas Miravalls, directeur du segment Routes au niveau du groupe LafargeHolcim, et M. Edward Giesen, responsable de stratégie d’entreprise chez IBM, assistés de leurs équipes, et en présence du Directeur Général de LafargeHolcim Côte d’Ivoire M. Serge Gbotta. Au vu du sujet à traiter, ce sont les structures décisionnelles et institutions financières œuvrant dans le domaine des infrastructures routières qui ont été conviées. L’on a noté notamment la présence de la Primature, du Ministère de l’Equipement et de l’Entretien Routier, du Laboratoire du Bâtiment et des Travaux Publics, et de MCA Côte d’Ivoire.

Parce que les routes varient en fonction de leur localisation, des conditions climatiques, du volume de trafic et des matériaux utilisés, ORIS va évaluer les designs des routes en utilisant ces différentes perspectives, avec l’objectif d’apporter les recommandations qui permettront d’optimiser les coûts, l’impact sur l’environnement, la durabilité et les ressources naturelles. A titre d’exemple, des projets menés en Amérique du Nord, en Europe et en Asie avec le support d’ORIS, ont démontré que cette solution permet de réduire le coût total d’un projet jusqu’à 30% du budget initial, et de réduire de 70% les opérations de maintenance.

Grâce à cette nouvelle solution digitale, LafargeHolcim illustre une fois encore son ambition de supporter efficacement le secteur de la construction, afin qu’il s’inscrive résolument dans une démarche de développement durable, et au coût juste.

Gageons qu’une telle innovation aura retenu l’attention des autorités compétentes, et qu’elle saura aider la Côte d’Ivoire à développer davantage un réseau routier pérenne.